Les usagers de cet ascenseur spatial pourraient se rendre du plancher des vaches à une station de recherche située à 36 000 km d’altitude. A une vitesse approchant les 200 km/k, il faudra alors un peut plus d’une semaine de voyage le long d’un câble composé de nanotubes de carbone (pour la robustesse) pour accéder au dernier étage de  l’édifice.

Une série de panneaux solaires situés sur la station spatiale permettrait de fournir la puissance électrique nécessaire pour faire décoller la cabine de la surface de la Terre et l’emmener à 36 000 km d’altitude.

Pour que le système fonctionne correctement, il faudra cependant mettre en place un contrepoids situé lui à 96 000 km de la surface de la Terre.

Ce projet fou et incroyable semble être pris très au sérieux par les japonnais qui ignorent encore son coût. Si le projet voit le jour, l’ascenseur pourrait transporter jusqu’à 30 personnes dans l’espace à moindre coût.

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Après avoir été les premiers à concevoir un avion-fusée privé (SpaceShipOne) capable d’emmener des passagers au delà de l’atmosphère terrestre (+ de 100 km d’altitude), ils remettent le couvert avec Stratolaunch, un avion gigantesque qui va lancer une fusée en plein vol.  Après l’arrêt du programme des navettes spatiales de la NASA, cette nouvelle technologie pourrait donner un nouveau souffle à la conquête spatiale américaine.

Si le projet arrive à son terme, « l’avion lanceur de lanceur » de Stratolaunch Systems aura la taille de deux Boeing 747. L’avion aura une envergure de 117 mètres soit plus grand qu’un terrain de football américain ou 37 mètres de plus que l’envergure de l’Airbus A380.

Pour bouger tout ça et emmener ce gros bébé dans les étoiles, six moteurs de Boeing 747 seront nécessaires. Pour décoller et atterrir, il lui faudra une piste de 3,65 km de long. Les grands aéroports internationaux devraient faire l’affaire.

Sur le papier Stratolauch a une masse de 525 tonnes et sera capable d’embarquer un lanceur-fusée à trois étage construit par SpaceX de 223 tonnes. Une fois arrivé à une altitude suffisante et avant de revenir sur le plancher des vaches, Stratolaunch larguera la fusée qui continuera sa route vers les étoiles.

Au démarrage, Stratolaunch est prévu pour faciliter le lancement de satellites et le transport de fret vers ISS, la Station Spatiale Internationale. Si le système démontre ses capacités, il pourrait être utilisé pour emmener des hommes dans l’espace.

La société Stratolaunch Systems qui emploie déjà une centaine de personnes prévoit de réaliser les premiers essais en vol dans le courant de l’année 2015 et un premier lancement en mission en 2016. Des délais plutôt optimistes…

Si Stratolaunch voit le jour, il permettra certainement d’offrir une alternative « low-cost » et flexible au transport spatial.

Stratolaunch Systems

Via Ciel & Espace, Engadget, Space.com et ETS

Credit: Stratolaunch Systems

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Il aura fallu cinq année de développement et $30 000 pour développer ce ballon dirigeable sans pilote. Tandem est composé de deux ballon-sondes (utilisés dans la météorologie), d’un châssis en fibre de carbone et de deux moteurs électriques à hélices spécialement conçus pour fonctionner dans la haute atmosphère.

Lancé le 22 octobre dernier du Black Rock Desert dans le Nevada, le ballon Tandem a grimpé jusqu’à 29 km d’altitude après avoir passé de grosses turbulences lors de son ascension. Tandem a volé plus haut que tout aéronef jusqu’alors et a effectué quelques manoeuvres avant de redescendre tranquilement vers la Terre.

L’objectif à long terme est d’utiliser ce type de dirigeable comme plateforme de lancement à haute altitude pour fusées de recherches scientifiques ou avions hypersoniques.

Pour en savoir plus JP Aerospace

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Développé par la Sierra Nevada Corporation, le Dream Chaser ^® est à la pointe de la technologie en matière de vols spatiaux habités. Il offre sécurité des astronautes, fiabilité de transport en orbite basse et ce à moindres coûts comparé aux jeunes retraitées, les navettes spatiales. Le projet Dream Chaser^® a pour objectif de fournir aux USA et à l’agence spatiale américaine (NASA) une solution efficace pour assurer des vols habités de 7 membres d’équipage, ravitailler la Station Spatiale Internationale et sécuriser le retour sur Terre de l’équipage. Si le projet se déroule comme prévu, le Dream Chaser^® devrait faire des tests en 2012 pour être envoyé en orbite en 2014.

Le Dream Chaser^® sera lancé grâce à une fusée Atlas V sur laquelle il sera positionné au sommet. Après s’être détaché de la fusée, l’avion spatial va utiliser ses moteurs hybrides pour ajuster son orbite et s’amarrer à la station spatiale.

Le Dream Chaser^®pourrait ne pas s’arrêter au simple fait de faire le taxi de l’espace entre ISS et la Terre. En effet, afin d’améliorer le retour sur investissement, il pourrait également servir le tourisme spatial. D’ailleurs, c’est là où débute un partenariat avec la société Virgin Galactic de Richard Branson.

Le Dream Chaser en images

La vidéo du concept

Images Sierra Nevada Corporation

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Qu8k, la fusée de Derek Deville, a été lancée depuis le désert américain de Black Rock dans le Nevada. Après 92 secondes de poussée, la fusée artisanale a atteint son apogée à près de 37 000 mètres (121 000 pieds) d’altitude au dessus du plancher des vaches. Son parachute embarqué s’est alors déployé pour faire revenir tranquillement la fusée et sa caméra  à la maison.

La fusée artisanale mesure 20 cm de diamètre pour plus de 4 mètres de long et environ 145 kg. Le vol a duré au total 8,5 minutes et l’ensemble des débris on été retrouvés dans un périmètre de 5 km depuis le site de lancement.

La vidéo à voir ci-dessous, offre des images splendides de notre planète Terre depuis l’espace (Pour la vidéo en version courte c’est par là).

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Attendue pour 2016, cette station spatiale pourra être une destination touristique de luxe et offrira de nombreuses possibilités telles que l’étude de la micro-gravité ou le développement de produits en environnement spatial.  Elle pourra également être une escale pour les voyages habités au delà de l’orbite terrestre. Ce laboratoire/hôtel sera en mesure d’accueillir jusqu’à 7 personnes simultanément.

Que ce soit pour une Lune de miel ou un luxueux voyage à 350 km d’altitude au dessus du plancher des vaches, cet hôtel de l’espace offre tout le confort d’un grand hôtel  : mets déshydratés, télé par satellite ou encore Wi-Fi… Enfin presque, puisqu’il faudra dormir en position verticale et n’en parlons même pas pour la douche…

Pour espérer un jour passer quelques jours à bord de cet hôtel de l’espace, il faudra au minimum 3 mois de préparation physique et certainement un portefeuille bien rempli.

Images Orbital Technologies

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Le moteur de propulsion VASIMR (Variable Specific Impulse Magnetoplasma Rocket) risque de révolutionner l’exploration spatiale en permettant d’envoyer des sondes plus vite et plus loin.

Le physicien du MIT Franklin R. Chang Díaz, également Président et CEO de la société Ad Astra Rocket Company qui commercialise VASIMR, se voit accordé la confiance de la NASA grâce à son moteur Plasma.

55 à 400 millions de kilomètres, c’est la distance variante qui sépare la Terre de Mars sur une période d’un an et demi.

Les technologies chimiques qui équipent actuellement les moteurs de fusées brûlent de la poudre ou des mélanges de carburants liquides qui permettent d’atteindre de grandes vitesses rapidement. Cependant, avec ces technologies, au plus proche passage de Mars, un voyage habité Terre-Mars durerait 6 mois. Le séjour sur la planète rouge serait ensuite de 18 mois dans l’attente d’une fenêtre de retour. Au total, la mission durerait près de 3 années. Dans ces conditions, il reste encore difficile d’envisager envoyer des hommes sur Mars dans un futur proche.

Le moteur Plasma VASIMR, quant à lui repose sur l’énergie électrique collectée par des panneaux solaires ou produite par un réacteur nucléaire embarqué. Cette électricité est ensuite utilisée pour ioniser un mélange d’hydrogène et d’hélium. Une fois chauffée à très haute température, cette solution va se transformer en plasma. Des champs magnétiques vont ensuite diriger et accélérer le plasma dans les tuyères du moteur VASIMR qui va propulser en continu le vaisseau à très grande vitesse – 198 000 Km/heure soit 55 Km/seconde.

A mi-parcours, à cette vitesse,  il faudra inverser la poussée du moteur pour pouvoir freiner et être capturer par la force gravitationnelle de Mars.

La durée du voyage serait alors de 39 jours contre 6 mois avec les technologies actuelles et la mission pourrait ne durer que 5 à 6 mois maximum en permettant aux astronautes de repartir dans la même période sans avoir à attendre la prochaine fenêtre de retour.

Afin de développer cette technologie, Ad Astra Rocket Company, devra concevoir un modèle plus raisonnable, le VX-200.

Les applications potentielles sont nombreuses (Voyage habité vers la Lune, interventions sur les satellites, etc.) mais le premier objectif est pour un déploiement orbital en 2013 en conditions réelles sur ISS notre Station Spatiale Orbitale.

[Via]

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L’histoire commence durant l’été 2005.  La sonde Deep Impact larguait un impacteur sur la comète Temporel 1. Une mission couronnée de succès car l’impact et son panache de débris avait pu être observé par les instruments de la sonde qui ont également analysés le noyau de la comète. Parce qu’il restait assez de carburant, les ingénieurs au sol  ont alors décidés d’orienter la sonde vers un nouveau rendez-vous. Deep Impact fut alors renommée en Epoxi.

Epoxi commença alors son voyage vers la comète Hartley 2 découverte en 1986 par l’astronome Malcom Hartley. Après une longue route de 5 ans, Epoxi a rencontré sa cible hier à 37 millions de km de notre bon vieux plancher. La sonde a alors survolée  l’objet céleste de 1,6 km de large à seulement 700 km de distance et nous a offert ces magnifiques clichés (Crédits photos : NASA). [Via EnjoySpace]

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Nous sommes en août dernier quand ces amateurs passionnés par la conquête spatiale, après de longs mois de tests, sont parvenus a envoyer un ballon sonde à 30 Km d’altitude où le module a entamé  sa descente vers la Terre après que ses ballons aient explosés.

Le module était composé d’un ballon sonde type météo, d’un parachute de descente, d’une caméra HD et d’un iPhone.

La caméra et l’iPhone  avaient préalablement été encapsulés dans une coque « homemade » qui a tenue le choc. L’iphone a permis de suivre la trajectoire du dispositif et de le retrouver dans un arbre à seulement 50 kilomètres de son point de départ. La caméra HD a quant à elle collecter de super images (un peu mouvementé par des vents violents).

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